Nous avons rencontré Cahrles Gurgey (27 ans). Il nous raconte comment il a gravi tous les échelons pour devenir basketteur professionnel. Charles prouve qu’il est possible de devenir basketteur professionnel sans suivre le parcours de formations « classique ». Lors de notre interview, il nous a dévoilé l’aptitude qu’il a développée pour y arriver.
Avant d’atteindre le troisième niveau national (Nationale 1), Charles a eu un parcours atypique. Pourtant tout commençait bien avec une présélection en Pôle Espoir.
« J’ai commencé le basket au Reims Université Club (RUC) en cadet départemental. J’ai ensuite suivi le cursus des sélections départementales et régionales. On m’avait invité pour aller au Pôle Espoir … J’ai décidé de me débrouiller par moi-même. J’ai envoyé des CV dans tous les clubs formateurs de Pro A ou Pro B. »
Cependant une chose lui a permis de tenir et d’arriver là où il en est aujourd’hui. En Nationale 1 avec une moyenne de 22,1 minutes de jeu pour 7,9 points, 2,5 rebonds et 1,6 passes décisives.
« Il va falloir un mental vraiment à toute épreuve parce que forcément à un moment donner on va se prendre des murs… Et si un jour on veut devenir pro il ne faut pas s’attendre à ce que ça tombe du ciel… On est en place une année et il y a je ne sais pas combien de personnes qui veulent nous prendre la place. »
Si toi aussi tu veux grimper les échelons pour vivre ton rêve et devenir basketteur professionnel.
Alors commence à gérer ta carrière comme un professionnel. Créer toi un profil complet, montre ce que tu vaux sur le terrain et suis tes statistiques en t’inscrivant sur Up To The League.
Pour comprendre ce que les coachs de centres de formation attendent des jeunes joueuses et joueurs, regarde l’interview de Mickaël Pivaud, coach des Espoirs de l’AS Monaco Basket.
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